Hé les cabots !
levez le pied – la patte, si vous le préférez -,
on se met illico
au decrescendo.
De grâce, sur le
champ, cessez d’aboyer et rangez les crocs.
Si en passant je
me suis arrêté c’est pour vous regarder
Je suis un
promeneur, aucunement une bête traquée
Inutiles sont
vos abois parce que je sors du bois.
Wouah
+ wouah + wouah = wouah wouah wouah
3 wouah contre moi.
D’évidence et incontestablement vous l’emportez au
nombre de voix.
Mais…
Prenez garde à
l’extinction de voix et n’oubliez pas le dicton :
Le train, bien
que les chiens aboient, par la gare à Vannes passe.
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