2017-10-16

T768 - Wouah wouah wouah et moi et moi et moi.



Hé les cabots ! levez le pied – la patte, si vous le préférez -,
on se met illico au decrescendo.
De grâce, sur le champ, cessez d’aboyer et rangez les crocs.

Si en passant je me suis arrêté c’est pour vous regarder
Je suis un promeneur, aucunement une bête traquée
Inutiles sont vos abois parce que je sors du bois.

Wouah + wouah + wouah = wouah wouah wouah
3 wouah contre moi.
D’évidence et incontestablement vous l’emportez au nombre de voix.

Mais…
Prenez garde à l’extinction de voix et n’oubliez pas le dicton :
Le train, bien que les chiens aboient, par la gare à Vannes passe.

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