Je te l’avais dit que
ce n’était pas une bonne idée
de passer notre nuit
de noces à Dijon
pour célébrer
mémorablement notre union.
J’eus beau t’avertir
et protester,
comme souvent, tu n’as
pas voulu écouter
et nous voilà
aujourd’hui copieusement tartinés.
Tu déclarais que pour
moi tu brûlerais de mille feux !
Dans quelques instants
exhaussé sera ton vœu.
Ah ! Ton brûlant
amour ?
Un four !
Ne t’étonne pas bougre
d’entêté
qu’à l’instant la
moutarde me monte au nez.
*** fin ***
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