Un grand saule pleureur se tordait de
douleur,
depuis quelque temps virant au franc pleurnicheur.
depuis quelque temps virant au franc pleurnicheur.
Mais pour quelle raison gémissait ainsi l'hypocondriaque ?
Sous lui ce n'était qu'une énorme flaque,
depuis qu'à sa barbe et à son nez on avait enlevé sa dulcinée,
une tendre compagne qui l’emplissait de félicité.
Saule seul.
D'icelle, menuisiers et ébénistes, d'authentiques dég...
avait transformé la douce Saulette en armoire à glace.
Pauvre arbre solitaire, son ange de douceur
affichait désormais une carrure de déménageur.
On peut avoir l'esprit large mais aussi
comprendre sa douleur.
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