Les garçons y allaient franco pour gravir le
coteau
-Appelons-les Mateo et Ludo, Jules et Jim, Rachid et
Mouloud
Qu’importe,
cela n’a pas vraiment d’importance car on n’y reviendra pas,
Mais des
noms, à un récit, reconnaissez que cela donne de la consistance.
Qu’avaient-ils à faire
de si urgent sur le versant descendant ?
Jeter du pain aux
canards de la mare tout simplement
Ou bien fumer un
pétard à l’abri des regards ?
Comment savoir ce qui
se passe dans une tête d’ado !
Arrivés à la crête du
talus, en direction de l’inconnu,
Ils ont basculé,
disparu
Je les ai perdus de
vue
La suite, honnêtement,
je ne saurais en dire plus.
Peut-être qu’Alain
Gautron, mon émérite partenaire littéraire,
lui le sait pour de
ses yeux l’avoir vu...
Si vraiment vous êtes
un lecteur curieux,
voilà une belle
occasion d’aller aujourd’hui lui rendre une visite,
Sans oublier
naturellement de le saluer de ma part.
Surtout, surtout,
après le détour, à votre retour,
N’oubliez pas de me
livrer le fin mot de cette histoire.
C’est toujours
frustrant de ne pas savoir !
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