Et je ne pourrais t'aider mais la formule est sympathique. Quand je vois de telles foules j'ai envie de fuir, ça me fait (presque) peur. Et il en est qui vive cela tous les jours - quand il n'y a pas de grèves. Bien à toi.
Belzébuth serait donc le chef de gare, qui permettrait au pauvre peuple d' arriver au but ! On retrouve le pandémonium, même si l' on sait que l' enfer est pavé de bonnes intentions ! Per inde ac cadaver ! Bien à toi
Cher Trublion, champion de la citation latine. Hum ! qu'il est bon de paver de nos bonnes intentions bien palpables cet hypothétique lieu de promises souffrances... Ave.
"de Saint Lazare où le soir se battent les partants pour Marly le Roi"
RépondreSupprimerJe ne sais plus de quelle chanson est extraite cette phrase qui me vient à l'esprit, mais c'est déjà assez ancien...
Et je ne pourrais t'aider mais la formule est sympathique.
RépondreSupprimerQuand je vois de telles foules j'ai envie de fuir, ça me fait (presque) peur. Et il en est qui vive cela tous les jours - quand il n'y a pas de grèves.
Bien à toi.
Entre l'enfer du train et l'enfer des vrombissants engins, il faut choisir
RépondreSupprimerbien à nous !
Belzébuth serait donc le chef de gare, qui permettrait au pauvre peuple d' arriver au but !
RépondreSupprimerOn retrouve le pandémonium, même si l' on sait que l' enfer est pavé de bonnes intentions !
Per inde ac cadaver !
Bien à toi
Crasyone : Pour aller vers l'enfer du travail ? Démoniaque choix, non !
RépondreSupprimerBien à toi.
Cher Trublion, champion de la citation latine.
RépondreSupprimerHum ! qu'il est bon de paver de nos bonnes intentions bien palpables cet hypothétique lieu de promises souffrances...
Ave.