Barbu et cornu
Par Belzébuth, j’ai les cornes en luth
Éternellement en rut
Je rebute même les putes
Atrocement je pue, Diable fourchu !
Aussi et ainsi comment vouliez-vous que je leur plus ?
Que ne m’a-t-on prêté de mauvaises manières
Sous prétexte d’être sur terre le représentant de Lucifer
- que ne les entende ma pauvre chère mère ! -
Oui je fornique avec les biques,
Mais cela vaut-il cette injuste réputation de lubrique ?
Même rasé de près je sais que jamais
Je ne serai président de la république
alors
Je pars de ce pas en exil
Loin des villes,
loin d’ici,
Dans les Deux-Sèvres, en milieu ami.
Pauvre bouc ! Mais moi j'adore aussi les chèvres ! Les chats, les ânes, les chèvres. Je suis une fervente amoureuse des z'animaux, sais-tu ? Et puis ils ne puent pas, ils sentent juste les bonnes odeurs du terroir. De toute façon, les parisiens ne savent pas ce qui est bon dans le cochon, alors...
RépondreSupprimerFille Bule.
Il faudrait croire alors qu'un bouc nain
RépondreSupprimerest en fait un diablotin lutin !
Mais en fait le diable est assez malin
pour dans les porcs suivre son chemin.
bien à toi
Un bouc qui ne pue pas, ça n'existe pas ou alors faut avoir le pif sérieusement encombré.
RépondreSupprimerKatia, arrête de cogner sur les Parisiens, sont comme les autres. C'est un truc de provincial my dear.
Père Lachaise.